Titre : | Mary et Max | Type de document : | document projeté ou vidéo | Auteurs : | Adam Elliot, Metteur en scène, réalisateur ; Dale Cornelius, Compositeur ; Adam Elliot, Scénariste | Editeur : | Gaumont | Année de publication : | 2010 | Importance : | DVD, 92mn | Présentation : | 16/9 compatible 4/3, Dolby Digital 5.1 et 2.0 | ISBN/ISSN/EAN : | 3607483168110 | Note générale : | Entretien avec Adam Elliot, Les histoires nous aident à vivre : extrait de la rencontre avec Adam Elliot au festival d'Annecy 2009, les voix originales, les voix françaises, Max par Philip Seymor Hofman, Damian par Eric Bana, Barry Humphries est le narrateur, bande-annonce.
Grand prix du Festival d'animation d'Annecy, France, 2009
Prêt + Consultation
Sous-titres pour malentendants : Français | Langues : | Anglais (eng) Français (fre) | Résumé : | Sur plus de vingt ans et d'un continent à l'autre, Mary et Max raconte l'histoire d'une relation épistolaire entre deux personnes très différentes : Mary Dinkle, une fillette de 8 ans joufflue et solitaire, vivant dans la banlieue de Melbourne, en Australie, et Max Horowitz, un juif obèse de 44 ans, atteint du syndrome d'Asperger et habitant dans la jungle urbaine de New York. Voix en Version Originale : Toni Collette, Philip Seymour Hoffman, Eric Bana, Barry Humphries, Bethany Whitmore, Renée Geyer. Pour ce film 212 marionnettes furent crée de différentes factures : pâte à modeler, polymère, plastique, métal, sachant que les personnages principaux en ont une douzaine chacun. 133 décors différents ont été créés, répartis en deux mondes distincts : la banlieue de Melbourne et New-York. "Deux existences recluses, repliées sur leur monde intérieur auquel l'animation donne non seulement forme et vie mais exacerbe, avec un beau sens du détail évocateur, la poésie tragique et l'humour désespéré." TéléCinéObs "(...) avec beaucoup de subtilités, Adam Elliot, influencé par Nick Park et Tim Burton, signe un film d'animation épistolaire et mélancolique pour adultes où la cocasserie du monde côtoie son absurdité." Première "Un grand pas en pâte à modeler pour l'animation et une sublime histoire pour l'humanité - néanmoins déconseillée aux moins de dix ans !" Le Figaroscope |
Mary et Max [document projeté ou vidéo] / Adam Elliot, Metteur en scène, réalisateur ; Dale Cornelius, Compositeur ; Adam Elliot, Scénariste . - [S.l.] : Gaumont, 2010 . - DVD, 92mn : 16/9 compatible 4/3, Dolby Digital 5.1 et 2.0. ISSN : 3607483168110 Entretien avec Adam Elliot, Les histoires nous aident à vivre : extrait de la rencontre avec Adam Elliot au festival d'Annecy 2009, les voix originales, les voix françaises, Max par Philip Seymor Hofman, Damian par Eric Bana, Barry Humphries est le narrateur, bande-annonce.
Grand prix du Festival d'animation d'Annecy, France, 2009
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Sous-titres pour malentendants : Français Langues : Anglais ( eng) Français ( fre) Résumé : | Sur plus de vingt ans et d'un continent à l'autre, Mary et Max raconte l'histoire d'une relation épistolaire entre deux personnes très différentes : Mary Dinkle, une fillette de 8 ans joufflue et solitaire, vivant dans la banlieue de Melbourne, en Australie, et Max Horowitz, un juif obèse de 44 ans, atteint du syndrome d'Asperger et habitant dans la jungle urbaine de New York. Voix en Version Originale : Toni Collette, Philip Seymour Hoffman, Eric Bana, Barry Humphries, Bethany Whitmore, Renée Geyer. Pour ce film 212 marionnettes furent crée de différentes factures : pâte à modeler, polymère, plastique, métal, sachant que les personnages principaux en ont une douzaine chacun. 133 décors différents ont été créés, répartis en deux mondes distincts : la banlieue de Melbourne et New-York. "Deux existences recluses, repliées sur leur monde intérieur auquel l'animation donne non seulement forme et vie mais exacerbe, avec un beau sens du détail évocateur, la poésie tragique et l'humour désespéré." TéléCinéObs "(...) avec beaucoup de subtilités, Adam Elliot, influencé par Nick Park et Tim Burton, signe un film d'animation épistolaire et mélancolique pour adultes où la cocasserie du monde côtoie son absurdité." Première "Un grand pas en pâte à modeler pour l'animation et une sublime histoire pour l'humanité - néanmoins déconseillée aux moins de dix ans !" Le Figaroscope |
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