Titre : | Alegria | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Manuel Vilas (1962-..), Auteur ; Isabelle Gugnon, Traducteur | Importance : | 1 vol. (397 p.) | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-364-68470-6 | Prix : | 22,50 EUR | Langues : | Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) | Index. décimale : | 863.7 | Résumé : | "Je suis arriv?e par la douleur ?a la joie", ?ecrit le po?ete Jos?e Hierro. De chambres d'h?otel en a?eroports, assailli par une profusion de souvenirs, Manuel Vilas poursuit la mise ?a nu de son narrateur. Il orchestre la symphonie de la m?emoire et enrichit son tableau de nouveaux motifs comme celui de l'all?egresse. Toujours entour?e de ses musiciens, ombres de son pass?e, en dialogue incessant avec les doubles de ses fant?omes, auxquels il ajoute Arnold (pour Sch?Eonberg), sa part sombre, son ange de la d?epression. Le pass?e coule partout, vague sans cesse rabattue, il est dans les machines ?a presser les oranges, dans les chemises jamais assez blanches, dans les cours d'eau, comme sous le sol que l'on foule. "La joie venait toujours apr?es la peine", chante Apollinaire, Alegra tend r?esolument du c?ot?e de la lumi?ere et Manuel Vilas offre, apr?es Ordesa, un grand livre solaire. Son audace litt?eraire et sa capacit?e ?a transfigurer l'intime en universel le d?esignent comme un de nos ?ecrivains contemporains majeurs." |
Alegria [texte imprimé] / Manuel Vilas (1962-..), Auteur ; Isabelle Gugnon, Traducteur . - [s.d.] . - 1 vol. (397 p.) ; 23 cm. ISBN : 978-2-364-68470-6 : 22,50 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa) Index. décimale : | 863.7 | Résumé : | "Je suis arriv?e par la douleur ?a la joie", ?ecrit le po?ete Jos?e Hierro. De chambres d'h?otel en a?eroports, assailli par une profusion de souvenirs, Manuel Vilas poursuit la mise ?a nu de son narrateur. Il orchestre la symphonie de la m?emoire et enrichit son tableau de nouveaux motifs comme celui de l'all?egresse. Toujours entour?e de ses musiciens, ombres de son pass?e, en dialogue incessant avec les doubles de ses fant?omes, auxquels il ajoute Arnold (pour Sch?Eonberg), sa part sombre, son ange de la d?epression. Le pass?e coule partout, vague sans cesse rabattue, il est dans les machines ?a presser les oranges, dans les chemises jamais assez blanches, dans les cours d'eau, comme sous le sol que l'on foule. "La joie venait toujours apr?es la peine", chante Apollinaire, Alegra tend r?esolument du c?ot?e de la lumi?ere et Manuel Vilas offre, apr?es Ordesa, un grand livre solaire. Son audace litt?eraire et sa capacit?e ?a transfigurer l'intime en universel le d?esignent comme un de nos ?ecrivains contemporains majeurs." |
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