Titre : | La roseraie : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Michel Besnier (1945-....), Auteur | Editeur : | Paris : Fayard | Année de publication : | 1997 | Importance : | 197 p. | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-213-59947-2 | Prix : | 98 F | Note générale : | La roseraie est une tragédie très douce, un livre sur le désir du bonheur et la peur de l'amour, sur l'adoration de la nature, des roses et du monde qui, seule, console les aléas de l'histoire et protège de "sentiments rouges" qui dérivent de la haine, de" sentiments noirs" qui; comme l'angoisse et les remords, épuisent le système nerveux. | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Quand on lui demande son métier, Benjamin Renart répond "Généalogistes des roses". Ce qui le captive, c'est comprendre leurs migrations et leurs croisements dans "l'ombre des siècles". Ce qui l'envoûte, c'est la sensualité des fleurs. La passion des roses, par le calme et le détachement qu'elle apporte, conduit Benjamin à accomplir des séances émerveillements. Il surnome ainsi les exès de sa propre sensibilité, rejoint avec plus de disponibilité le territoire des femmes aimées.
Il aime la Gerboise, avec laquelle il forme un couple insécable, se retient de tomber amoureux de celle qui vient, tous les jours, s'installedr dans sa roseraie pour peindre des portraits de roses. Il la surnome la Teresina, comme pour mieux l'assimiler à une fleur, qu'il ne cueillera jamais.
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La roseraie : roman [texte imprimé] / Michel Besnier (1945-....), Auteur . - Paris : Fayard, 1997 . - 197 p. ; 22 cm. ISBN : 978-2-213-59947-2 : 98 F La roseraie est une tragédie très douce, un livre sur le désir du bonheur et la peur de l'amour, sur l'adoration de la nature, des roses et du monde qui, seule, console les aléas de l'histoire et protège de "sentiments rouges" qui dérivent de la haine, de" sentiments noirs" qui; comme l'angoisse et les remords, épuisent le système nerveux. Langues : Français ( fre) Résumé : | Quand on lui demande son métier, Benjamin Renart répond "Généalogistes des roses". Ce qui le captive, c'est comprendre leurs migrations et leurs croisements dans "l'ombre des siècles". Ce qui l'envoûte, c'est la sensualité des fleurs. La passion des roses, par le calme et le détachement qu'elle apporte, conduit Benjamin à accomplir des séances émerveillements. Il surnome ainsi les exès de sa propre sensibilité, rejoint avec plus de disponibilité le territoire des femmes aimées.
Il aime la Gerboise, avec laquelle il forme un couple insécable, se retient de tomber amoureux de celle qui vient, tous les jours, s'installedr dans sa roseraie pour peindre des portraits de roses. Il la surnome la Teresina, comme pour mieux l'assimiler à une fleur, qu'il ne cueillera jamais.
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